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Il faut que les histoires retournent à ceux à qui elles appartiennent. Bruno Clavier
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Les morts sont des invisibles, ils ne sont pas des absents. St Augustin.

 

Nos ancêtres nous parles de bien des manières : à travers les dates et les événements importants de notre quotidien, à travers nos blocages et les répétitions qui jalonnent nos vies, mais aussi à travers nos forces et nos qualités.

 

La psychogénéalogie part du principe que certains comportements ou traumatismes sont transmis de génération en génération et empêchent au sujet de se réaliser. Alejandro Jodorowsky

Souvent, rien que le fait d'en prendre connaissance, suffit à transformer, chez le descendant, le symptôme qui lui est lié. Un atelier ou une séance avec un praticien en psycho-généalogie est le début d'une passionnante recherche, parfois surprenante, parfois douloureuse, parfois joyeuse et toujours enrichissante et libératrice.

La psychogénéalogie biographique permet de sortir des programmations émotionnelles héritées des schémas de pensée erronés et de déposer les dettes inconscientes transmises par les aïeux. Et de comprendre sa propre existence !

 

 

 

Comment faire?

 

Remettre son histoire familiale dans le bon ordre :

Les recherches des faits et des dates remettent les pendules à l'heure (chronologie). La mémoire est faillible et le besoin transformer les faits est omniprésent.

Rechercher le syndrome anniversaire, la récurrence des faits...

Celui-ci peut se manifester de différentes manières inconscientes dans l'histoire familiale, souvent autour des dates (joyeuses ou douloureuses) importantes et récurrentes de la famille.

Débusquer les fantômes...

Ce sont choses qui n'ont pas été dites, pas été réglés, pas été intégrés ou pas gérés par nos ancêtres, ce sont les traumatismes du système familial, ils hantent nos psychismes de leurs peurs irrationnelles (peur d'être volé, de tomber malade, d'être abandonné, peur de réussir, peur d'être aimé ...) et qui conditionnent notre état émotionnelle, les phobies (peur de l'eau, peur d'être enfermé...) qui sortent d'on ne sais où ?


 

Réaliser quels boulets, quelles croyances limitantes j'ai hérité de mes ancêtres...

Je dois être tout le temps actif, chez nous on ne se repose pas, imprime en nous cette grand-mère recueillie par une famille où il fallait travailler dur. Je ne suis pas digne... Je n'y arriverai jamais... le bonheur, c'est pour les autres... autant de modèles toxiques issus d'un passé qui ne devrait pas nous concerner.

Nous portons tous en nous, les mémoires des expériences vécues par nos ancêtres.

 

La perte d'une personne aimée, être victime d'une injustice, être exclu ou rejeté de sa famille ou d'un groupe, mal vivre un divorce, maladies graves, abus sexuel, trahison, mort violente, dettes morales, emprisonnement, la liste des possibilités est longue...

Réaliser les mémoires enthousiastes, positives que nous portons...

 

Elles sont un potentiel, une réserve de : Joie de vivre, créativité, discernement et ténacité devant les obstacles, dons d'organisation, saine curiosité... Les passions de nos ancêtres pour l'art, les chevaux, leurs hobbys nous accompagne peut-être ? Les expériences amoureuses réussies... et ce don pour choisir les couleurs, tout comme la tante Ernestine qui était peintre ?

 

  • La prise de conscience de certaines mémoires douloureuses nous mène à une libération, à être nous-même (avec nos défauts et nos qualités « à nous »).

 

  •  

    Le bonheur, c'est quand je suis à ma place et que je le sens, que je le sais, et que je m'autorise à le vivre, pour moi même, en y incluant les autres... avec le sourire. La question à laquelle tente de répondre la psychogénéalogie, c'est : Qu'est-ce qui m'en empêche ?

    La prise de conscience de notre potentiel ancestral (de notre boite à outil), nous permet de le mettre au service de nos choix, de nos projets « à nous ».

 

« Un voyage de mille kilomètres commence toujours par un pas » Lao-Tseu.

La première étape de ce processus de collecte de données est purement intellectuelle et matérielle. C’est la base pour pouvoir ultérieurement interpréter et obtenir des indices sur la dynamique familiale.

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